TEMOIGNAGES
Témoignages BARS
J'ai eu l'occasion d'expérimenter grâce à Sabine les soins Bars. Cette expérience s'est révélée être différente pour chacune d'elles. Je peux assimiler ces expériences à un voyage onirique à chaque fois. Le côté remarquable réside dans la "tonalité" de l'expérience qui est réellement en lien avec l'intention ou l'absence d'intention spécifique. Le lâcher-prise est immédiat et des sensations de mouvements énergétiques sont bien présentes. La légèreté et la relaxation sont au rendez-vous. Au suivant! :-)
Cécile
http://www.contrepoids.be/
Témoignages EFT
Bonjour Sabine,
Juste pour te dire que les deux séances passées chez toi mon faites un bien fou.
J’ai retrouvé une paix intérieure.
Voilà, j’ai osé écrire à ma fille..
J’aimerais que mon mari en fasse autant avec sa fille mais là ce n’est pas gagné.
Je ne manquerai pas de venir chez toi si le négatif reprenait sur le positif.
Encore un grand merci
Carinne
Difficulté de se passer d'une béquille
Un jour je reçois en thérapie une dame très cartésienne qui a eu un accident de voiture quelques mois plus tôt et dont la fille aimerait qu'elle en arrive à se passer de sa béquille qui, selon elle, n'est plus indispensable. La dame me dit qu'elle n'ose pas « lâcher » sa béquille car alors, elle perd l'équilibre et a peur de tomber. Elle est donc très dépendante de sa béquille. Nous travaillons toute la séance sur cette peur et la douleur dans son corps ainsi que du fait qu'elle ne croit pas vraiment à tout ça étant donné qu'elle a l'esprit cartésien et a besoin de « comprendre » comment fonctionne l'EFT. La séance se termine et la dame se sent mieux, plus légère. Elle se lève, me paie et s'en va. Je la regarde se diriger vers la sortie et lui demande si elle veut un feedback immédiat. Elle se retourne avec un grand sourire et me dit oui. Je lui dit alors qu'elle a « oublié » sa béquille dans mon cabinet. Elle revient vers moi en me disant « oh mais je n'en ai pas besoin tout le temps », prend sa béquille et s'en va en la tenant en main par son milieu comme un parapluie fermé.
(Le résultat est parfois tellement rapide qu'on "oublie" qu'on avait ce problème.)
Alexian, 6 ans a été témoin d'une scène de violence
J'ai rencontré Alexian lors d'une communion. Il avait été témoin d'une scène de violence avec du sang quelques jours plus tôt. Il avait eu très peur et en restait traumatisé. Sa maman me dit qu'il s'accroche fort à elle, qu'il dort mal et lui demande s'il accepte de m'en parler parce que je connais un petit truc qui lui permettrait de se sentir mieux. Alexian accepte.
Il m'explique qu'il a eu très peur. Je lui demande si cette peur est quelque part dans son corps. Il met sa main sur son thorax. Je lui demande si ce qu'il ressent à une couleur ou une sensation. Il dit que c'est noir-brun et que ça pique.
Je lui explique ensuite qu'au bout de ses doigts, il a une baguette magique et qu'en tapotant à certains endroits de son corps, il va se sentir mieux. Je lui dis que maintenant il va répéter ce que je dis et faire ce que je fais. Alexian est un petit garçon très intelligent, il comprend vite.
Nous faisons une première séquence EFT et je demande à Alexian comment il se sent et si la couleur est toujours la même. Il dit que ça va un peu mieux et que c'est devenu vert comme l'herbe et un peu jaune et aussi que ça pique moins.
Ok, on refait un tour d'EFT. Alexian me dit alors que c'est tout petit comme ça (il rapproche son pouce de son index pour me montrer).
On refait un tour et Alexian rapproche encore son pouce de son index (c'est tout fin comme une feuille de papier).
On refait un tour et Alexian serre son poing en disant "c'est parti". A ce moment, il commence à gigoter sur le banc et je lui demande s'il veut aller jouer. Il me répond "oui" et part comme une flèche. Tout cela a pris entre 5 et 10 minutes.
Une semaine plus tard, sa maman me répète les paroles d'Alexian à propos de cette mini séance: "C'est comique et ça fait du bien, je veux bien y aller tous les jours." Il dit qu'il se sent mieux là ( en mettant sa main au thorax). Sa maman dit aussi que cette semaine, Alexian a été moins accroché à eux.
Davina et le deuil d'une fausse couche
Je venais juste d'avoir 40 ans et l'idée d'un petit deuxième, bien ancrée, me trottait depuis longtemps déjà dans la tête. Aussitôt dit, aussitôt fait...de toute façon: il était temps!!! Je ne sais pourquoi (alors que tout s'était bien passé pour mon premier fils) et ce, depuis le début de la grossesse, on peut dire que "je ne le sentais pas"..."quelque chose clochait". En effet, je perdais un peu de sang quasi quotidiennement depuis le tout début de l'annonce de ma grossesse. Sur ce point, ma gynécologue se contentait de me rassurer... "c'était pas grave, le bébé allait bien puisque son coeur battait et donc pas de quoi s'inquiéter".
Et pourtant, ce qui devait arriver arriva... Ce fameux dimanche, j'avais mal dans le bas du ventre, je ne me sentais pas très bien, je saignais encore et j'ai donc décidé de me rendre à l'hôpital pour vérifier tout "en sachant" ce que le médecin allait me dire: son petit coeur s'était arrêté de battre. Cruel verdict, la négation, les larmes...le choc, malgré le fait que je savais, j'étais anéantie...
Je sentais que j’allais sombrer, je me sentais dépressive, nulle, vide, (espoir brisé ? attente déçue ? inquiétudes quant à l’avenir ?) et ensuite la culpabilité … je voulais comprendre et trouver la cause … identifier le ou la coupable. Toute cette tristesse que je n’arrivais pas à évacuer … Face au médecin qui a banalisé l’événement (vous recommencerez plus tard … la vie continue), j’ai ressenti (après une période de solitude nécessaire) le besoin de parler de cette douloureuse expérience à Sabine.
J’avais déjà expérimenté les techniques d’EFT auparavant et on s’est dit que cela pourrait peut-être m’aider à surmonter cette épreuve et à « faire le deuil » de cet enfant perdu (je n’y croyais pas trop mais de toute façon « ça ne pouvait pas faire plus mal » alors pourquoi pas ?).
Nous étions dans le jardin et – déjà pendant la séance (malgré les tonnes de kleenex engouffrées !) – j’ai senti ma douleur « s’évaporer dans l’air » (je me sentais « soulagée » et « délivrée » émotionnellement de ce « poids » sur mon cœur et ma conscience …). J’ai ri, nous avons ri, et j’ai même réussi à dire « adieu » à ce petit bout qui avait décidé de ne pas naître. Je pense que cette séance m’a permis de faire le deuil de cet enfant, elle m’a également déculpabilisée et permis de remonter la pente pour mieux affronter l’avenir ainsi que le regard des autres (à ceux-qui savaient déjà et se montraient gênés en ma présence, je pouvais dorénavant dire que j’allais bien … je pense même que personne n’y croyait vraiment et qu’ils pensaient plutôt que « je jouais à tout va bien » … et pourtant j’allais incroyablement bien.
La thérapie a permis de m’aider à faire le deuil, à transformer mes sentiments d’oppression, de douleur, de tristesse et de culpabilité en un sentiment de « délivrance » et d’apaisement …
J’en profite pour remercier ma thérapeute miracle et encourage les personnes sceptiques à faire un petit essai (peut-être serez-vous les suivants à venir témoigner …).
Davina
Anne-Catherine et la phobie de l'avion
En 1985, lors d'un voyage aux Etats-Unis, j'ai eu la frousse de ma vie en avion où j'ai bien cru qu'on allait se crasher. Depuis lors, j'ai été angoissée à l'idée de prendre l'avion. Au fur et à mesure, je pensais que cette angoisse allait disparaître ou, à tout le moins, s'atténuer. Mais il n'en était rien.
Lorsque j'attendais dans la salle d'embarquement, je commençais à transpirer et à avoir des nausées. J'étais alors obligée de prendre des cachets pour voyager. Ce qui ne m'empêchait pas de m'agripper aux accoudoirs des sièges durant tout le trajet. Un jour j'ai rencontré Sabine. Elle m'a parlé de l'EFT. Je me suis laissée convaincre. Après la séance, il me semblait que finalement, je n'avais pas eu si peur que ça de l'avion depuis 20 ans ;-).
Lorsque j'ai repris l'avion une semaine plus tard, je n'étais pas tout à fait à l'aise mais je n'avais plus de nausées, plus de gouttelettes qui dégoulinent et beaucoup moins d'appréhension. Après quelques fois, toutes mes angoisses ont disparu. Aujourd'hui, je prends l'avion comme je prends le train. Sans aucun souci.
Anne-Catherine
(Nous avons fait cette séance avec Anne-Catherine en 2005. Le 14 mars 2008, alors qu'elle était revenue d'un voyage loin d'ici pour son travail, j'ai reçu un sms d'elle sur mon gsm, il disait ceci:
"coucou, ce petit sms pour te dire que j'ai pris 7 avions en 10 jours! Pfff, facile! Je n'ai même pas pensé que je pouvais avoir peur! Bises
C'est le genre de témoignage que tout praticien rêve d'avoir, non? Avec l'EFT, voilà qui risque de devenir une habitude ;-))
Témoignage de Tina
Il y a quelques semaines j’ai fait une séance EFT avec Sabine. Je voulais qu’on « traite » un gros problème dû à des harcèlements de mon père, pendant toute ma vie. Surprise, ma coache a embrayé sur ma maman ???? Mon père étant mort depuis deux ans, il est vrai que maman « copie » un peu papa et me critique, contredit, bref me traite comme une « débile » exactement comme le faisait mon père. Bon. On embraye sur maman. Je ne peux pas rendre la séance du fait que lorsque je suis « en traitement », je suis dans un état « second » entièrement à l’écoute de ma coache et je n’ai plus conscience de mon existence.
Je peux quand même dire que grâce à Sabine j’ai découvert quelque chose que j’ignorais sur maman. En tapotant des phrases sont arrivées à propos du fait que maman me critique dès que je sors des chemins battus : genre je ris aux éclats, je déteste m’habiller BCBG, je me fais soigner par homéopathie (des « rebouteux » pour ma famille ( ?)), je dessine, je crée des bijoux, je fais des traductions de l’EFT etc… et JAMAIS je n’ai un compliment de ma mère à propos de ce que je fais ou crée.
Sabine alors m’a fait répéter des phrases (qui venaient de son intuition) qui m’ont éclairée : maman étant aussi sous le joug despotique de papa, elle a dû abandonner le tennis, a arrêté la couture, la natation etc.. du fait que papa la voulait disponible pour lui et quand il le voulait. Donc Sabine m’a fait comprendre, tout en tapotant, que ma pauvre maman peut-être ……m'enviait ma liberté de créer et de prendre ma liberté par rapport à mon compagnon (qui lui aussi est très productif d’ailleurs).
Pendant que nous tapotions, mon compagnon m’a appris que maman avait téléphoné deux fois ! Mais pas du tout à l’heure à laquelle elle appelle d’habitude ! Sabine m’a expliqué que l’EFT « travaille énergétiquement » sur les personnes et les conflits et en effet cela s’est passé pendant la séance, maman a téléphoné deux fois.
Depuis, nos rapports ont fort changé. Je ne suis plus « crispée » quand je vais la voir et du coup quand elle me critique, j’ose maintenant lui dire gentiment voire avec humour « dis, maman, tu arrêtes de tout critiquer » et tout cela se fait sans accrocs.
Ce n’est pas encore le Nirvana mais nous nous sommes rapprochées toutes les deux c’est-à-dire que je n’ai plus peur d’aller la voir (peur d’ENCORE me faire critiquer etc.), je suis nettement plus en paix et donc énergétiquement ….elle aussi.
Merci Sabine
Gros bisous
Tina
Noémie, 10 ans, ne veut pas aller à la piscine avec l'école.
La maman de Noémie ne sait pas quoi faire, Noémie a stressé tout le week-end parce qu'elle doit aller à la piscine lundi avec l'école.
Je propose donc à Noémie de faire des rondes de taptap pour voir ce qui se passe, elle accepte.
Je lui demande pourquoi elle ne veut pas aller à la piscine alors qu'elle adore ça. Elle me répond qu'elle n'aime pas le prof.
Je lui demande alors s'il est méchant et pourquoi elle ne l'aime pas. Elle dit qu'il est sévère et qu'elle et ses camarades ne peuvent pas beaucoup jouer. Elle doit faire le crawl et elle ne sait pas bien le faire.
Je commence avec elle une ronde de taptap:
PK: Même si je n'ai pas envie d'aller à la piscine, je m'aime beaucoup
SC: Je n'ai pas envie d'aller à la piscine
DS: J'aime pas le prof
CO: Il est sévère
SO: On ne peut pas jouer beaucoup
SN: Je n'ai pas envie d'aller à la piscine, j'ai peur du prof
SB: J'aime vraiment pas le prof
SCL: J'aimerais bien pouvoir jouer un peu plus
SB: Je ne sais pas bien faire le crawl
SS: Je n'ai pas envie d'aller à la piscine
Je lui demande ensuite comment elle se sent après cette ronde. Elle me répond "en fait, c'est pas que je n'aime pas le prof mais quand on fait le crawl, il nous regarde et j'ai peur de rater."
Ah bon, alors tu ne veux pas aller à la piscine parce que tu as peur de rater?
Oui.
On fait une autre ronde:
SC: J'ai tellement peur de rater que je n'ai pas envie d'aller à la piscine
DS: J'ai peur de rater le crawl
CO: J'aimerais bien jouer un peu plus
SN: J'ai peur de ne pas bien faire le crawl
SB: J'aime bien aller à la piscine mais j'ai peur de rater
SCL: J'aime pas quand le prof me regarde
SB: J'ai peur de rater
SS: J'aime bien la piscine mais j'ai peur de rater le crawl quand le prof me regarde
Je lui demande si elle n'a toujours pas envie d'aller à la piscine et elle me dit que ça va.
Tu n'as pas peur de rater le crawl?
Non, d'ailleurs on aura sûrement une planche pour le faire.
Nous avons fait des rondes de taptap pendant un peu moins de 5 minutes.
Le lendemain, sa maman m'a dit que le soir, quand Noémie est rentrée de l'école, elle lui a demandé comment ça s'était passé à la piscine et Noémie a répondu "bien, on a fait le crawl avec la planche et on a joué".
Un semaine plus tard, elle avait de nouveau piscine et le soir elle est rentrée en disant qu'elle avait eu 9,5/10 en crawl avec la planche.
Quelques jours après, Noémie a lu son témoignage sur cette page et m'a dit avec un grand sourire "je l'aime bien maintenant le prof".
Les petites peurs de tous les jours peuvent être rapidement résolues avec l'EFT. Après cela, l'enfant n'y pense même plus.
Marc et la phobie de l'avion
Marc (nom d’emprunt) est dans la trentaine et vient me voir parce qu’il a peur de l’avion. Il va pourtant être obligé de le prendre bientôt car il adopte un enfant et va donc faire le voyage à l’étranger pour aller le chercher. Chaque fois qu’il prend l’avion, il a peur qu’il y ait des « petits soucis ». Le moindre bruit l’angoisse.
En fait, il a peur de mourir, de se voir mourir.
En avion, il n’a aucun contrôle sur ce qui pourrait se passer et il a peur de ne savoir rien faire en cas de problème. C’est un peu la même sensation que quand il se retrouve seul le lundi après un WE entouré d’amis, il angoisse et a peur de la mort.
Les diverses choses qu’il me raconte me font penser qu’il y a peut-être eu très tôt dans sa vie de fœtus, un jumeau perdu. Les « symptômes » ressemblent fort à ceux dont parle le docteur Claude Imbert dans ses livres et séminaires.
On tapote donc sur tout cela et de 8/10, il passe à 4/10.
Après quelques tours EFT, il me dit qu’en ce moment, il parle beaucoup de l’avion et qu’il y pense plusieurs fois par jour, il ne sait pas s’en empêcher et chaque il se projette et angoisse.
On refait quelques tours et quand il s’imagine maintenant dans l’avion, c’est relax, il a l’impression que si on lui enlève la peur de la mort, il n’aura plus peur de l’avion.
C’est comme s’il avait un poids en moins sur les épaules, il ressent beaucoup de chaleur dans les mains.
A la 2è séance, il me dit qu’il a l’impression de ne plus avoir aussi peur, d’ailleurs il a beaucoup moins pensé et parlé de sa peur de l’avion pendant cette semaine.
La peur de la mort s’est modifiée aussi, il a peur de ne plus exister, « peur de quitter le monde qu’on connait et qu’on aime ». Il a peur de quitter tout et d’arriver « nulle part ». Il aurait besoin qu’on lui prouve qu’il y a quelque chose derrière.
Pour lui, la mort c’est le noir complet, c’est comme rentrer dans une pièce noire et ne plus savoir que faire, c’est perdre tous ses repères.
On tapote sur tout ça et je lui propose de fermer les yeux et d’imaginer un petit film où il se voit prendre l’avion, décoller, regarder par le hublot, être attentif à ce qu’il ressent, parler avec son voisin, lire, et enfin, atterrir. Prendre l’avion, c’est un moyen de transport rapide, c’est pour aller dans un lieu de détente, de vacances, c’est quelque chose de positif.
On refait une séquence, il est à 1/10 et il me dit qu’il se pose des questions sur ce qui lui arrive car il n’a plus ses sensations de départ quand il pense à l’avion et il se demande comment c’est possible.
Il me dit avant de partir, qu’il aurait bien envie de prendre rapidement un avion pour un WE à Paris, juste histoire de voir…
J’ai appris quelques temps plus tard que Marc avait effectivement pris l’avion pour un week-end parisien et que tout s’était bien passé.
Témoignages BARS
J'ai eu l'occasion d'expérimenter grâce à Sabine les soins Bars. Cette expérience s'est révélée être différente pour chacune d'elles. Je peux assimiler ces expériences à un voyage onirique à chaque fois. Le côté remarquable réside dans la "tonalité" de l'expérience qui est réellement en lien avec l'intention ou l'absence d'intention spécifique. Le lâcher-prise est immédiat et des sensations de mouvements énergétiques sont bien présentes. La légèreté et la relaxation sont au rendez-vous. Au suivant! :-)
Cécile
http://www.contrepoids.be/
Témoignages EFT
Bonjour Sabine,
Juste pour te dire que les deux séances passées chez toi mon faites un bien fou.
J’ai retrouvé une paix intérieure.
Voilà, j’ai osé écrire à ma fille..
J’aimerais que mon mari en fasse autant avec sa fille mais là ce n’est pas gagné.
Je ne manquerai pas de venir chez toi si le négatif reprenait sur le positif.
Encore un grand merci
Carinne
Difficulté de se passer d'une béquille
Un jour je reçois en thérapie une dame très cartésienne qui a eu un accident de voiture quelques mois plus tôt et dont la fille aimerait qu'elle en arrive à se passer de sa béquille qui, selon elle, n'est plus indispensable. La dame me dit qu'elle n'ose pas « lâcher » sa béquille car alors, elle perd l'équilibre et a peur de tomber. Elle est donc très dépendante de sa béquille. Nous travaillons toute la séance sur cette peur et la douleur dans son corps ainsi que du fait qu'elle ne croit pas vraiment à tout ça étant donné qu'elle a l'esprit cartésien et a besoin de « comprendre » comment fonctionne l'EFT. La séance se termine et la dame se sent mieux, plus légère. Elle se lève, me paie et s'en va. Je la regarde se diriger vers la sortie et lui demande si elle veut un feedback immédiat. Elle se retourne avec un grand sourire et me dit oui. Je lui dit alors qu'elle a « oublié » sa béquille dans mon cabinet. Elle revient vers moi en me disant « oh mais je n'en ai pas besoin tout le temps », prend sa béquille et s'en va en la tenant en main par son milieu comme un parapluie fermé.
(Le résultat est parfois tellement rapide qu'on "oublie" qu'on avait ce problème.)
Alexian, 6 ans a été témoin d'une scène de violence
J'ai rencontré Alexian lors d'une communion. Il avait été témoin d'une scène de violence avec du sang quelques jours plus tôt. Il avait eu très peur et en restait traumatisé. Sa maman me dit qu'il s'accroche fort à elle, qu'il dort mal et lui demande s'il accepte de m'en parler parce que je connais un petit truc qui lui permettrait de se sentir mieux. Alexian accepte.
Il m'explique qu'il a eu très peur. Je lui demande si cette peur est quelque part dans son corps. Il met sa main sur son thorax. Je lui demande si ce qu'il ressent à une couleur ou une sensation. Il dit que c'est noir-brun et que ça pique.
Je lui explique ensuite qu'au bout de ses doigts, il a une baguette magique et qu'en tapotant à certains endroits de son corps, il va se sentir mieux. Je lui dis que maintenant il va répéter ce que je dis et faire ce que je fais. Alexian est un petit garçon très intelligent, il comprend vite.
Nous faisons une première séquence EFT et je demande à Alexian comment il se sent et si la couleur est toujours la même. Il dit que ça va un peu mieux et que c'est devenu vert comme l'herbe et un peu jaune et aussi que ça pique moins.
Ok, on refait un tour d'EFT. Alexian me dit alors que c'est tout petit comme ça (il rapproche son pouce de son index pour me montrer).
On refait un tour et Alexian rapproche encore son pouce de son index (c'est tout fin comme une feuille de papier).
On refait un tour et Alexian serre son poing en disant "c'est parti". A ce moment, il commence à gigoter sur le banc et je lui demande s'il veut aller jouer. Il me répond "oui" et part comme une flèche. Tout cela a pris entre 5 et 10 minutes.
Une semaine plus tard, sa maman me répète les paroles d'Alexian à propos de cette mini séance: "C'est comique et ça fait du bien, je veux bien y aller tous les jours." Il dit qu'il se sent mieux là ( en mettant sa main au thorax). Sa maman dit aussi que cette semaine, Alexian a été moins accroché à eux.
Davina et le deuil d'une fausse couche
Je venais juste d'avoir 40 ans et l'idée d'un petit deuxième, bien ancrée, me trottait depuis longtemps déjà dans la tête. Aussitôt dit, aussitôt fait...de toute façon: il était temps!!! Je ne sais pourquoi (alors que tout s'était bien passé pour mon premier fils) et ce, depuis le début de la grossesse, on peut dire que "je ne le sentais pas"..."quelque chose clochait". En effet, je perdais un peu de sang quasi quotidiennement depuis le tout début de l'annonce de ma grossesse. Sur ce point, ma gynécologue se contentait de me rassurer... "c'était pas grave, le bébé allait bien puisque son coeur battait et donc pas de quoi s'inquiéter".
Et pourtant, ce qui devait arriver arriva... Ce fameux dimanche, j'avais mal dans le bas du ventre, je ne me sentais pas très bien, je saignais encore et j'ai donc décidé de me rendre à l'hôpital pour vérifier tout "en sachant" ce que le médecin allait me dire: son petit coeur s'était arrêté de battre. Cruel verdict, la négation, les larmes...le choc, malgré le fait que je savais, j'étais anéantie...
Je sentais que j’allais sombrer, je me sentais dépressive, nulle, vide, (espoir brisé ? attente déçue ? inquiétudes quant à l’avenir ?) et ensuite la culpabilité … je voulais comprendre et trouver la cause … identifier le ou la coupable. Toute cette tristesse que je n’arrivais pas à évacuer … Face au médecin qui a banalisé l’événement (vous recommencerez plus tard … la vie continue), j’ai ressenti (après une période de solitude nécessaire) le besoin de parler de cette douloureuse expérience à Sabine.
J’avais déjà expérimenté les techniques d’EFT auparavant et on s’est dit que cela pourrait peut-être m’aider à surmonter cette épreuve et à « faire le deuil » de cet enfant perdu (je n’y croyais pas trop mais de toute façon « ça ne pouvait pas faire plus mal » alors pourquoi pas ?).
Nous étions dans le jardin et – déjà pendant la séance (malgré les tonnes de kleenex engouffrées !) – j’ai senti ma douleur « s’évaporer dans l’air » (je me sentais « soulagée » et « délivrée » émotionnellement de ce « poids » sur mon cœur et ma conscience …). J’ai ri, nous avons ri, et j’ai même réussi à dire « adieu » à ce petit bout qui avait décidé de ne pas naître. Je pense que cette séance m’a permis de faire le deuil de cet enfant, elle m’a également déculpabilisée et permis de remonter la pente pour mieux affronter l’avenir ainsi que le regard des autres (à ceux-qui savaient déjà et se montraient gênés en ma présence, je pouvais dorénavant dire que j’allais bien … je pense même que personne n’y croyait vraiment et qu’ils pensaient plutôt que « je jouais à tout va bien » … et pourtant j’allais incroyablement bien.
La thérapie a permis de m’aider à faire le deuil, à transformer mes sentiments d’oppression, de douleur, de tristesse et de culpabilité en un sentiment de « délivrance » et d’apaisement …
J’en profite pour remercier ma thérapeute miracle et encourage les personnes sceptiques à faire un petit essai (peut-être serez-vous les suivants à venir témoigner …).
Davina
Anne-Catherine et la phobie de l'avion
En 1985, lors d'un voyage aux Etats-Unis, j'ai eu la frousse de ma vie en avion où j'ai bien cru qu'on allait se crasher. Depuis lors, j'ai été angoissée à l'idée de prendre l'avion. Au fur et à mesure, je pensais que cette angoisse allait disparaître ou, à tout le moins, s'atténuer. Mais il n'en était rien.
Lorsque j'attendais dans la salle d'embarquement, je commençais à transpirer et à avoir des nausées. J'étais alors obligée de prendre des cachets pour voyager. Ce qui ne m'empêchait pas de m'agripper aux accoudoirs des sièges durant tout le trajet. Un jour j'ai rencontré Sabine. Elle m'a parlé de l'EFT. Je me suis laissée convaincre. Après la séance, il me semblait que finalement, je n'avais pas eu si peur que ça de l'avion depuis 20 ans ;-).
Lorsque j'ai repris l'avion une semaine plus tard, je n'étais pas tout à fait à l'aise mais je n'avais plus de nausées, plus de gouttelettes qui dégoulinent et beaucoup moins d'appréhension. Après quelques fois, toutes mes angoisses ont disparu. Aujourd'hui, je prends l'avion comme je prends le train. Sans aucun souci.
Anne-Catherine
(Nous avons fait cette séance avec Anne-Catherine en 2005. Le 14 mars 2008, alors qu'elle était revenue d'un voyage loin d'ici pour son travail, j'ai reçu un sms d'elle sur mon gsm, il disait ceci:
"coucou, ce petit sms pour te dire que j'ai pris 7 avions en 10 jours! Pfff, facile! Je n'ai même pas pensé que je pouvais avoir peur! Bises
C'est le genre de témoignage que tout praticien rêve d'avoir, non? Avec l'EFT, voilà qui risque de devenir une habitude ;-))
Témoignage de Tina
Il y a quelques semaines j’ai fait une séance EFT avec Sabine. Je voulais qu’on « traite » un gros problème dû à des harcèlements de mon père, pendant toute ma vie. Surprise, ma coache a embrayé sur ma maman ???? Mon père étant mort depuis deux ans, il est vrai que maman « copie » un peu papa et me critique, contredit, bref me traite comme une « débile » exactement comme le faisait mon père. Bon. On embraye sur maman. Je ne peux pas rendre la séance du fait que lorsque je suis « en traitement », je suis dans un état « second » entièrement à l’écoute de ma coache et je n’ai plus conscience de mon existence.
Je peux quand même dire que grâce à Sabine j’ai découvert quelque chose que j’ignorais sur maman. En tapotant des phrases sont arrivées à propos du fait que maman me critique dès que je sors des chemins battus : genre je ris aux éclats, je déteste m’habiller BCBG, je me fais soigner par homéopathie (des « rebouteux » pour ma famille ( ?)), je dessine, je crée des bijoux, je fais des traductions de l’EFT etc… et JAMAIS je n’ai un compliment de ma mère à propos de ce que je fais ou crée.
Sabine alors m’a fait répéter des phrases (qui venaient de son intuition) qui m’ont éclairée : maman étant aussi sous le joug despotique de papa, elle a dû abandonner le tennis, a arrêté la couture, la natation etc.. du fait que papa la voulait disponible pour lui et quand il le voulait. Donc Sabine m’a fait comprendre, tout en tapotant, que ma pauvre maman peut-être ……m'enviait ma liberté de créer et de prendre ma liberté par rapport à mon compagnon (qui lui aussi est très productif d’ailleurs).
Pendant que nous tapotions, mon compagnon m’a appris que maman avait téléphoné deux fois ! Mais pas du tout à l’heure à laquelle elle appelle d’habitude ! Sabine m’a expliqué que l’EFT « travaille énergétiquement » sur les personnes et les conflits et en effet cela s’est passé pendant la séance, maman a téléphoné deux fois.
Depuis, nos rapports ont fort changé. Je ne suis plus « crispée » quand je vais la voir et du coup quand elle me critique, j’ose maintenant lui dire gentiment voire avec humour « dis, maman, tu arrêtes de tout critiquer » et tout cela se fait sans accrocs.
Ce n’est pas encore le Nirvana mais nous nous sommes rapprochées toutes les deux c’est-à-dire que je n’ai plus peur d’aller la voir (peur d’ENCORE me faire critiquer etc.), je suis nettement plus en paix et donc énergétiquement ….elle aussi.
Merci Sabine
Gros bisous
Tina
Noémie, 10 ans, ne veut pas aller à la piscine avec l'école.
La maman de Noémie ne sait pas quoi faire, Noémie a stressé tout le week-end parce qu'elle doit aller à la piscine lundi avec l'école.
Je propose donc à Noémie de faire des rondes de taptap pour voir ce qui se passe, elle accepte.
Je lui demande pourquoi elle ne veut pas aller à la piscine alors qu'elle adore ça. Elle me répond qu'elle n'aime pas le prof.
Je lui demande alors s'il est méchant et pourquoi elle ne l'aime pas. Elle dit qu'il est sévère et qu'elle et ses camarades ne peuvent pas beaucoup jouer. Elle doit faire le crawl et elle ne sait pas bien le faire.
Je commence avec elle une ronde de taptap:
PK: Même si je n'ai pas envie d'aller à la piscine, je m'aime beaucoup
SC: Je n'ai pas envie d'aller à la piscine
DS: J'aime pas le prof
CO: Il est sévère
SO: On ne peut pas jouer beaucoup
SN: Je n'ai pas envie d'aller à la piscine, j'ai peur du prof
SB: J'aime vraiment pas le prof
SCL: J'aimerais bien pouvoir jouer un peu plus
SB: Je ne sais pas bien faire le crawl
SS: Je n'ai pas envie d'aller à la piscine
Je lui demande ensuite comment elle se sent après cette ronde. Elle me répond "en fait, c'est pas que je n'aime pas le prof mais quand on fait le crawl, il nous regarde et j'ai peur de rater."
Ah bon, alors tu ne veux pas aller à la piscine parce que tu as peur de rater?
Oui.
On fait une autre ronde:
SC: J'ai tellement peur de rater que je n'ai pas envie d'aller à la piscine
DS: J'ai peur de rater le crawl
CO: J'aimerais bien jouer un peu plus
SN: J'ai peur de ne pas bien faire le crawl
SB: J'aime bien aller à la piscine mais j'ai peur de rater
SCL: J'aime pas quand le prof me regarde
SB: J'ai peur de rater
SS: J'aime bien la piscine mais j'ai peur de rater le crawl quand le prof me regarde
Je lui demande si elle n'a toujours pas envie d'aller à la piscine et elle me dit que ça va.
Tu n'as pas peur de rater le crawl?
Non, d'ailleurs on aura sûrement une planche pour le faire.
Nous avons fait des rondes de taptap pendant un peu moins de 5 minutes.
Le lendemain, sa maman m'a dit que le soir, quand Noémie est rentrée de l'école, elle lui a demandé comment ça s'était passé à la piscine et Noémie a répondu "bien, on a fait le crawl avec la planche et on a joué".
Un semaine plus tard, elle avait de nouveau piscine et le soir elle est rentrée en disant qu'elle avait eu 9,5/10 en crawl avec la planche.
Quelques jours après, Noémie a lu son témoignage sur cette page et m'a dit avec un grand sourire "je l'aime bien maintenant le prof".
Les petites peurs de tous les jours peuvent être rapidement résolues avec l'EFT. Après cela, l'enfant n'y pense même plus.
Marc et la phobie de l'avion
Marc (nom d’emprunt) est dans la trentaine et vient me voir parce qu’il a peur de l’avion. Il va pourtant être obligé de le prendre bientôt car il adopte un enfant et va donc faire le voyage à l’étranger pour aller le chercher. Chaque fois qu’il prend l’avion, il a peur qu’il y ait des « petits soucis ». Le moindre bruit l’angoisse.
En fait, il a peur de mourir, de se voir mourir.
En avion, il n’a aucun contrôle sur ce qui pourrait se passer et il a peur de ne savoir rien faire en cas de problème. C’est un peu la même sensation que quand il se retrouve seul le lundi après un WE entouré d’amis, il angoisse et a peur de la mort.
Les diverses choses qu’il me raconte me font penser qu’il y a peut-être eu très tôt dans sa vie de fœtus, un jumeau perdu. Les « symptômes » ressemblent fort à ceux dont parle le docteur Claude Imbert dans ses livres et séminaires.
On tapote donc sur tout cela et de 8/10, il passe à 4/10.
Après quelques tours EFT, il me dit qu’en ce moment, il parle beaucoup de l’avion et qu’il y pense plusieurs fois par jour, il ne sait pas s’en empêcher et chaque il se projette et angoisse.
On refait quelques tours et quand il s’imagine maintenant dans l’avion, c’est relax, il a l’impression que si on lui enlève la peur de la mort, il n’aura plus peur de l’avion.
C’est comme s’il avait un poids en moins sur les épaules, il ressent beaucoup de chaleur dans les mains.
A la 2è séance, il me dit qu’il a l’impression de ne plus avoir aussi peur, d’ailleurs il a beaucoup moins pensé et parlé de sa peur de l’avion pendant cette semaine.
La peur de la mort s’est modifiée aussi, il a peur de ne plus exister, « peur de quitter le monde qu’on connait et qu’on aime ». Il a peur de quitter tout et d’arriver « nulle part ». Il aurait besoin qu’on lui prouve qu’il y a quelque chose derrière.
Pour lui, la mort c’est le noir complet, c’est comme rentrer dans une pièce noire et ne plus savoir que faire, c’est perdre tous ses repères.
On tapote sur tout ça et je lui propose de fermer les yeux et d’imaginer un petit film où il se voit prendre l’avion, décoller, regarder par le hublot, être attentif à ce qu’il ressent, parler avec son voisin, lire, et enfin, atterrir. Prendre l’avion, c’est un moyen de transport rapide, c’est pour aller dans un lieu de détente, de vacances, c’est quelque chose de positif.
On refait une séquence, il est à 1/10 et il me dit qu’il se pose des questions sur ce qui lui arrive car il n’a plus ses sensations de départ quand il pense à l’avion et il se demande comment c’est possible.
Il me dit avant de partir, qu’il aurait bien envie de prendre rapidement un avion pour un WE à Paris, juste histoire de voir…
J’ai appris quelques temps plus tard que Marc avait effectivement pris l’avion pour un week-end parisien et que tout s’était bien passé.